jaune : ffcc50 - bleu : 99CCFF - Test des couleurs

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Journaux intimes:


Extraits du journal intime du chien :

Jour n° 180


Jour n° 181
(Voir jour n° 180)

Jour n° 182
(Voir jour n° 181)

Jour n° 183
(Voir jour n° 182)


Extraits du journal intime du chat :

Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets
pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au
dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La
seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la
maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d'un
meuble. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.

Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans
leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi. Il faudra que
j'essaie encore depuis le haut des escaliers. Dans l'espoir d'induire
dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à
vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.

Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire
comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de
terreur. Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles
onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit
chat. Hmmm... Ca ne fonctionne pas conformément au plan.

Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune
raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il
comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée
"shampooing". Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ? Ma
seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes
dents.

Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été
placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le
bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent
"bière". Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison
de ma réclusion était mon pouvoir "allergisant". Il va falloir que
j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à mon avantage.

Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou
peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et
semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle
constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres mouvements.
Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est assurée.
Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps.




Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas un mto n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire sneoit à la bnnoe pclae.
Le rsete puet êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème.
C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot.
Pas mal non ?




  Je réponds à votre lettre dans laquelle vous demandez des détails concernant ma déclaration que l'accident a eu lieu parce que je travaillais seul.

Je suis maçon comme vous savez. Le jour de l'accident, je travaillais au 5eme étage d'un bâtiment.
Au moment de débaucher, il restait environ 250 kg de briques, qui devraient être redescendues. Plutôt que de les descendre a la main par la cage d'escalier, j'ai employé la poulie a laquelle j'avais accroché un grand bac. La poulie était fixée au 6eme étage.
Je suis descendu pour fixer la corde au sol, puis je suis remonté et j'ai rempli le bac de briques. Puis je suis redescendu, et j'ai défait la corde prudemment pour que la charge de 250 kg descende doucement.
Je pèse 67 kilos. A mon grand étonnement je fus soulevé avec un choc. Je n'eus pas la présence d'esprit de lâcher la corde. Inutile de préciser que mon ascension fut foudroyante.
Vers le 3ème étage je rencontrai le bac de plein fouet, ce qui explique la blessure au crane et la clavicule cassée. J'ai continué à m'élever a toute vitesse jusqu'au moment ou le bac a touché le sol.
Par le choc, le fond du bac se détacha et sans briques celui-ci ne pèse plus que 25 kg. Comme je suis beaucoup plus lourd, je suis redescendu a vive allure. Vers le 3ème étage je rencontrai à nouveau le bac qui remontait en sens inverse, ce qui explique les dégâts au bas du ventre et la cheville fracturée.
Cet incident a mi-parcours eut pour effet de freiner légèrement ma course, grâce a quoi je ne me suis cassé que deux vertèbres en tombant sur le tas de briques.
Malheureusement, je dois ajouter que lorsque je me retrouvais couché sur les briques, immobilise par la douleur, je n'eus pas la présence d'esprit de toujours tenir la corde.
L'ayant lâchée, le bac, amorça une nouvelle descente a haute vitesse et tombe sur mes jambes. J'ai donc eu celles-ci cassées aussi. J'espère vous avoir suffisamment éclairé sur les détails de l'accident et j'attends respectueusement votre réaction.